L’Xperium : un lieu pour découvrir la recherche et l’innovation ?

Durant le stage d’observation au laboratoire scientifique de Villeneuve d’Ascq nous avons visité l’Xperium.

L’Xperium est l’un des trois pôles d’activités de LILLIAD,  avec le pôle bibliothèque et le pôle événementiel situé au cœur du campus Cité scientifique.

Cette année l’Xperium parle du sport et invite les personnes à pratiquer une activité physique.

Sept domaines concernés par le sport sont abordés : 

1) la gestion du diabète en faisant de l’activité physique régulièrement

2) la découverte du plaisir en faisant du sport et des efforts physiques

3) la création de tee-shirts connectés aux services du sport

4) des capteurs spéciaux pour une nage plus efficaces

5) prévenir des commotions cérébrales chez les rugbymans

6) faire du sport pour une santé durable

7) promouvoir la pratique du sport chez les femmes dans les quartiers populaires (59 % des femmes ont pratiqué régulièrement une activité sportive (une fois par semaine) contre 62 % des hommes).

Lors de notre visite, nous avons compris l’importance de faire du sport durant la jeunesse et ses conséquences notamment sur la santé. Celle-ci s’améliore nettement si on fait du sport durant toute sa vie et notamment étant jeune. En ce qui nous concerne nous avons fait du sport durant notre jeunesse.

Le dernier doctorant nous a expliqué la définition de la commotion cérébrale qui est une blessure invisible causée par un rapide mouvement de va-et-vient de la tête ; ainsi, le cerveau touche les parois de la boîte crânienne. Nous avons découvert les risques de la commotion cérébrale et ce que nous devions faire par rapport à la situation notamment dans la discipline du rugby. Quand deux athlètes rentrent en choc, l’équipe, occupée à veiller à leur bien et à leurs états de forme, rentre sur le terrain afin de faire les premiers soins. Ils emmènent ensuite les joueurs dans une pièce afin de leur poser des questions à l’aide d’un document officiel.

Salim, Anass et Roméo.

Visite du laboratoire LOA : Laboratoire d’Optique Atmosphérique.

Le mardi 4 mars Yevgeny Derimian (enseignant chercheur) et Odran Sourdeval (chercheur) nous ont accueillis dans leur laboratoire pour en apprendre plus sur l’atmosphère et le climat.

Nous avons commencé par monter sur le toit du bâtiment non pas pour admirer le campus vue de haut mais bien pour découvrir différents instruments de mesure qui permettent, par exemple, d’évaluer la pollution de l’air. 

Nous avons ensuite parler du réchauffement climatique dû aux gaz à effet de serre mais aussi des aérosols qui sont de fines particules présentes dans l’air et qui sont essentiels à la formation des nuages et qui, par conséquent, limitent en partie le réchauffement climatique. 

Pour finir, nous avons procédé à une expérience qui consiste à calculer la luminosité (en lux) malgré la fumée entre les deux. 

De toutes le visites que nous avons faite c’est celle que j’ai préférée car le sujet m’a énormément intéressé et l’expérience m’a beaucoup plus. 

Merci à ECRIN, Yevgeny et Odran.

Camille

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L’objectif de cette visite : découvrir les instruments optiques qui permettent de capter les rayons du soleil pour mesurer la pollution dans l’air.

Découvrir également les systèmes LiDAR qui émettent une lumière laser à partir de divers systèmes mobiles (automobiles, avions, drones…) à travers l’air et la végétation (lasers aériens) et même l’eau (lasers bathymétriques). 

Un scanner reçoit la lumière en retour et mesure les distances, les angles et les mouvements précis en temps réel. 

Lors de la visite, nous nous sommes posés cette question : pourquoi le pourcentage d’oxygène est moins élevé que celui de l’azote tandis que le dioxygène est plus utile pour nous ? 

Holly

Visite du laboratoire EEP: Evolution Ecologie et Paléontologie.

EEP ou Evolution-Ecologie-Paléontologie ça vous parle ?

Le mardi 4 mars 2025 nous avons visité des laboratoires de recherche centrés sur le séquençage d’ADN et la biologie végétale. Ces laboratoires sont situés au bâtiment SN2 sur le campus scientifique de l’université de Lille.

La visite m’a plu car c’est le sujet que l’on aborde en SVT en ce moment, ce qui m’a le plus plu c’est l’ADN (fragment de chromosomes) et son séquençage.Pouvoir découvrir des machines de haute technologie était vraiment intéressant.

Lors de notre visite au laboratoire scientifique, nous avons rencontré des chercheurs et ingénieurs travaillant sur l’étude de l’ADN. Pour cela, ils utilisent des séquenceurs d’ADN ultramodernes , capables d’analyser des génomes en un temps records. Le laboratoire concerné est également équipé de systèmes en lien avec la bio-informatique, essentiels pour traiter et interpréter les vastes quantités de données générées. 

Gaspard et Timothée

La fresque du climat.

Lors du premier jour de stage, nous avons réalisé une activité centrée sur le climat nommée « la fresque du climat ».

Cela consistait à placer des images en lien avc les causes et conséquences du changement climatique de manière à reconstituer une fresque ; on peut parler dans se cas la du « lien cause à effet. »

Durant la réalisation de la fresque nous avons pu constater que les conséquences comme:

– l’émissions de CO2

– l’effet de serre dû à la production industrielle, aux transports, etc.

Nous avons apprécié cette activité car c’est important de sensibiliser les jeunes pour ne pas reproduire les même erreurs.

L’activité nous a plus car elle nous a permise de travailler en groupe et de pouvoir communiquer entre nous. Cela nous a appris de nouvelles choses sur le climat.

Noémie et Naolie

Il faut protéger les rugbymen.

ous voulions parler des particules et des nuages, mais finalement nous ne sommes pas spécialistes alors nous avons préféré vous parler des rugbymen!

Les rugbymen sont tous les jours exposés à des risques très graves, pouvant aller jusqu’à la perte de mémoire. 

Mais comment les protéger ? Quels sont les symptômes?

Le rugby est un sport très connu, mais aussi très violent. Mais est ce que les risques du rugby sont aussi connus que le sport? Sur eux il portent , en plus, du short et du maillot, un protège dents connecté, mais également un GPS , qui indique la position et les accélérations de la tête, qui au bout d’un certain seuil envoie un signal Bluetooth.

Durant un match de rugby, les joueurs sont amenés à recevoir des coups très violents ainsi à l’origine d’hématomes, d’entorses, de déchirures musculaires voire même de commotions cérébrales! Après un violent choc à la tête, le rugbymen doit être surveillé, surtout s’il présente les symptômes suivants : maux de tête, nausées, vomissements, douleur au cou, fatigue etc… Si c’est le cas, l’arbitre siffle et sort un carton bleu, qui signifie que le joueur blessé doit sortir. A l’infirmerie, le joueur passe un teste de commotion, une série de questions simples (exemple : qui a marqué en dernier? Dans quel stade sommes nous? etc…). Il est également invité à marcher sur une ligne droite . Si le joueur passe 95% des tests, on considère qu’il peut continuer à jouer, sinon, il est envoyé à l’hôpital.

Sana et Edna